Comme convenu, et pour faire plaisir à ma femme :-) j'allais donc chez mes beaux parents pour aider ma belle mère à tapisser.Ayant pas mal de congés à prendre, j'arrivais chez eux dès le lundi matin pour entamer le chantier.Je sonnais à la porte et mon beau père René vint m'ouvrir. Un peu surpris de sa présence (je le croyais en déplacement), je cachais mon étonnement et le suivis à la cuisine. Ma belle mère Marie-France était en train de boire un café. Elle portait une petite robe serrée à la taille, légèrement maquillée, avec des chaussures à petits talons. Ma foi, sans être endimanchée, je la trouvais tout à fait charmante et fraiche pur son âge (la cinquantaine).Mon beau père m'entraina un peu à l'écart et me glissa un billet de 200 francs (l'équivalent aujourd'hui de 200 euros) en me remerciant de venir donner un coup de main. Il me dit de ne pas m'en faire, que Marie-France était un peu chiante, mais pas méchante. Sur ce, il déclara qu'il était prêt à partir pour la semaine et embrassa sa femme (un petit bisou sur la joue). Je l'accompagnais à la porte et le remerciais pour le petit billet.Une fois sa voiture partie, je refermais la porte et retournais à la cuisine. Ignorant le comportement à adopter (nous ne nous étions plus vus depuis mon fameux massage des pieds), j'attendais sa réaction.Elle se précipita dans mes bras et m'embrassa tendrement. Un long baiser d'amoureux. Je sentais sa petite langue un peu râpeuse sur la mienne et savourer ce moment. Sa forte poitrine se serrait contre mon torse et je sentais déjà mon sexe gonfler et durcir.Elle m'entraina dans l'escalier pour rejoindre sa chambre conjugale dont le lit était encore défait. Je continuais à l'embrasser, à l'enlacer. J'entrepris de descendre la fermeture éclair de sa jolie petite robe. La robe glissa au sol et découvrit un ensemble soutien gorge, culotte, porte jarretelles de toute beauté. D'un blanc immaculé, orné de fine dentelle, magnifiquement vintage. Jamais avant ce jour, je n'aurais imaginé qu'une femme de 50 ans puisse être aussi belle (j'en avais 22). Je caressais le doux tissu et admirais cette lingerie (avec l'envie secrète de pouvoir la porter un jour).Je me mettais à genoux devant Marie-France et respirais sa petite culotte en devinant à travers la dentelle la toison brune surplombant ses lèvres rosées et charnues.N'y tenant plus, j'abaissais le linge pour profiter pleinement de son sexe. Son odeur était envoutante et je fourrais mon nez dans sa fourrure et glissant ma langue entre ses lèvres déjà humides. Le bout de mon nez touchait son clito. Il était dur et très développé, gros comme la dernière phalange de mon petit doigt. Je pouvais aisément le sucer, l'aspirer, comme une petite bite. Tout en lui broutant la chatte, je dégrafais son soutien gorge et libérais ses seins gros comme des petits melons de cavaillon.Je lui massais la poitrine en continuant à la lécher.Elle s'allongea sur le lit et écarta bien les jambes. Je voyais sa toison partir de son pubis, entourer son petit abricot et descendre vers sa petite rondelle. Je n'avais jamais vu un sexe aussi ...

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