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Chantal 1ère partie

Publié par : estak le 09/10/2023

Je précise que toute cette histoire est vraie, y compris certains dialogues.J'ai quitté le bureau où je travaillais en novembre 1991. J'y retournais régulièrement pour leur donner des opérations à effectuer. Ca leur donnait de l'activité et me permettait de voir mes anciens collègues avec qui je blaguais un peu. On était une bande de jeunes célibataires, même si je m'étais marié entre-temps, on sortait souvent au resto ou danser en bande, il y avait une très bonne ambiance entre nous.Fin 92, j'y allais et tombais à l'arrêt. Une nouvelle chef d'équipe venait d'arriver, une bombe anatomique. 1m70, brune cheveux longs, 32 ans, une jupe courte qui exhibait des jambes galbées toutes bronzées malgré l'hiver et surtout un bustier qui avait toutes les peines du monde à retenir la plus incroyable poitrine que j'avais vue depuis longtemps. Très souriante et rigolote, elle n'avait pas un visage extraordinaire, dans la moyenne dirais-je mais son sourire éclatant l'illuminait. Mes potes du bureau me dirent qu'elle n'avait pas froid aux yeux, il est vrai que sa tenue était au moins affriolante sans être vulgaire. Mais à l'époque je n'avais d'yeux que pour ma douce. Je ne tentais rien du tout avec elle même si sa plastique éveillait une chaleur dans mon entrejambe. Je ne la vis plus par la suite, on me dit qu'elle avait été mutée dans un service à la direction départementale.Par un hasard de la vie professionnelle, début 98, je me suis retrouvé devenir son chef dans l'équipe commerciale dont je pris la direction en janvier. Elle avait 6 ans et quelques kilos en plus mais toujours aussi incroyablement sexy.Elle minaudait souvent quand nous étions ensemble, et sa voix aussi était très sexy. Je ne savais pas si elle jouait de son charme pour m'allumer, mais je restais toujours très pro avec elle. Même si l'envie me démangeait parfois ! Mais j'ai toujours eu une règle : no zob in job ! Je vous raconterai peut-être un jour la seconde fois où j'ai refusé les avances d'une collaboratrice.J'appris par un de mes collaborateurs qu'elle était en instance de divorce. Son mari, qui avait 20 ans de plus, l'avait quittée pour une jeunette de 25 ans. Elle se confiait beaucoup à ce collaborateur, qui m'apprit qu'elle avait été libertine avec son mari, beaucoup en clubs et en soirées. D'ailleurs un jour à table à la cantine, elle dit tout de go : "Moi j'aime le cul" (sic).On avait l'habitude de boire le café tous les matins dans la cuisine de l'appartement qui nous servait de bureau. Un matin d'été 98, nous n'étions que tous les deux et elle proposa de faire le café. On se dirigea vers la grande cuisine. Elle versait l'eau dans le pot, quand elle rit nerveusement et me dit :" J'ai rêvé de toi cette nuit.- Ah bon, quel genre de rêve ?Elle rit encore nerveusement. Elle finit par lâcher après quelques secondes de gêne :- un rêve érotique.- J'espère que j'ai été à la hauteur ! (Il faut de la répartie quand on manage !)- Oui ça va, dit-elle en riant."Fidèle à mon mantra sur le zob dans le job je détournais la conversation vers un sujet plus trivial.Cet été là, je tombais doublement malade. A mon retour de maladie, j'appris que mon équipe avait gagné un challenge national. L'une des animations -hormis voyage, bons d'achat etc- allait être une initiation aux arts martiaux car la marraine était une ex-championne olympique de judo. J'étais dans le bureau de Chantal en entretien quand son téléphone sonna. C'était un gars du Siège qui appelait car il allait fournir des coques de protection pour les seins pour l'animation arts martiaux et il désirait connaître son tour de poitrine (véridique). Elle rit et dit tout de go : "100 E".Wow purée ! Je sifflais d'admiration et elle rougit tout en riant.Notre petit jeu "je drague gentiment mon chef-le chef apprécie mai ...

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