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PARTOUZE OÙ JE VAIS…Partie 2

Publié par : cleatv42 le 21/11/2021

Vite ! Je me mettais à genou en saisissant le sexe de l’homme le plus près de moi puis me relevait pour sucer le sein de sa compagne. Je sentis une tentative de pénétration par l’arrière mais la précipitation de l’inconnu inhibait sa tentative d’érection : pas de panique, il me restait l’autre main pour lui caresser les couilles, il était donc bien en main ! Certains devaient tricher ou bien ne pas participer car je ne vous raconte pas le nombre d’objectifs de smartphone qui crépitait dans la salle ! Puis la sirène se remit en marche après une dizaine de minutes sous les rires et les joyeuses remarques de l’assemblée. La lumière se fit plus crûe et plus intense. Un faisceau balaya la foule et finit par se braquer sur un homme tout seul près du buffet. Après quelques instant un huissier d’une taille et d’une carrure imposante vint le tirer par l’oreille et le traîna jusqu’à une table qu’on avait préparée là, l’y coucha de force sur le ventre et enduisit son anus de vaseline sous les rires complices de la foule… Je vous laisse deviner la suite lorsque la lumière se fit à nouveau discrète…« Vous êtes le maillon faible… » me dis-je en pensant à la sodomie que l’homme avait peut-être espéré en s’isolant.Fort bien, mais je ressentais maintenant la nécessité de faire une pause technique avant de continuer à explorer ce vaste foutoir si sympathique et si accueillant. Je me dirigeais donc à tâtons dans le méandre des lieux afin de trouver des toilettes si seulement celles-ci existaient.Arpentant le dédale des vastes salles qui s’enchainaient les unes après les autres, un léger courant d’air frais me guida en des lieux plus calmes et dénués de toute ces agitations, mais bien mal éclairés et sans aucunes indications. Il y avait là toute l’intendance nécessaire au buffet et j’évoluais entre palettes de caisses de bières, de cartons d’apéritifs et de serviettes en papiers…« Je ne dois plus être bien loin… » remarquais-je en mon fort intérieur vu que je fraye maintenant entre les imposants stocks de papier toilettes.Au détour d’un couloir je tombais nez à nez avec une personne handicapée qui faisait avancer péniblement son fauteuil roulant, entièrement nue avec pour seul accessoire son sac à pipi.« Il y a des toilettes par là ? » demandais-je.« Oui » répondit-il « mais derrière-vous, sur votre gauche dans quelques mètres ! ».Ceux qui me connaissent ne s’étonneront pas de la grande sensibilité et du désir altruiste qui m’incite à rendre service à ces personnes infirmes afin de leur procurer sympathie et réconfort. « Je vous y emmène ? » osais-je.« Non, vous voyez bien, j’ai mon pénilex et je viens de vider le sac… » répondit le replet qui devait me trouver des mèches blondes de pétasse au vu de ma stupide question.« Ah pardon... » fis-je « On s’occupe de vous ? Je veux dire vous participez aussi à la fête ?».« Je viens d’arriver. Pour moi c’est un peu spécial vu mon état. Mais une petite pipe ma jolie serait bienvenue ! » osa-t-il en triturant son membre qui déjà durcissait et nécessitait de déposer son sac urinaire, ce que je fis sans attendre. Quelques mouvements de poignée le long de son sexe et déjà pointait son beau gland suintant que j’engloutissait voracement positionnée à croupeton entre ses jambes.Son sexe sentait l’urine et la colle ce qui avait pour effet de m’exciter encore plus. J’étais la Marie-Madeleine qui prenait soin à donner doucement du plaisir à un pauvre être que le destin avait physiquement diminué : toujours je donnerai de ma personne pour leur procurer la jouissance et la considération nécessaire ! Après une dizaine de minutes je voyais bien que quelque chose n’allait pas : le fait de m’être faufilée la tête et le torse entre les repose-pieds de son fauteuil rendait la position inconfortable et l’empêchait de bien bander, voire au pire de ramollir !« Attends mon chéri ! » dis-je tout en me déplaçant et en continuant de le branler doucement. Je me mettais debout devant lui et son fauteuil sur mes talons aiguilles en lui présentant mon postérieur et en écartant au maximum les fesses en l’invitant de l’autre main à fourrer sa bite dans ma chatte-anus. Oh que c’était bon de remuer l’arrière-train de haut en bas en sentant son phallus jouer de la trempoline ! Quelle extase ! Je n’en pouvais plus de me caresser les tétons jusqu’à ce qu’il m’agrippe les fesses vertement dans un ultime râle éjaculatoire.J’ai dû rester assise quelques minutes avant de m’excuser parce que baiser en ayant la vessie pleine reste quand même inconfortable et c’est ainsi que je me suis enfuie pour aller vite ! vite ! vite ! trouver ces fichus WC et me soulager !Ah c’était là, dans la pénombre du couloir ! Je pousse une porte et oh surprise ! il y là des types avec l’air plus affreux les uns que les autres qui urinent sur un autre qui se roule par terre en jouissant : le type d’avant qui demandait à se faire pisser dessus !!! Je ne suis pas chochotte mais là, l’endroit était vraiment trop dégeulasse qui sentait la pisse et le vomis en plus d’un glacial courant d’air. C’est en me faisant toute petite à croupeton que j’ai vidé tous les verres de champagne et de crémant engloutis au buffet pour ressortir illico de cet endroit glauque sans demander mon reste.Il semblait étrange ce grand couloir, on se serait cru dans un cloître rococo et de plus on entendait des cris étouffés et des claquements entrecoupés de rires hystériques : une projection privée ? De plus je ressentais une bonne chaleur qui m’enveloppait opportunément et je décidais ainsi d’aller au bout de ce dégagement, d’autant plus que cela faisait maintenant quelques heures que je me baladais à poil et commençait à éternuer.Le bruit se précisait et s’amplifiait. Une double porte genre grande porte de saloon s’entrouvrit précipitamment pour laisser échapper une aveuglante lumière rouge d’où surgirent en vacillant deux filles en tenue sadomaso, l’une toute groggy et larmoyante, l’autre la soutenant en marchant. « Waooouu ! » me dis-je « là on ne rigole plus ! » avant de faire face à une énorme tenture d’où s’échappaient rires et langoureuses incantations « Ahhh…Ohhhh…Hmmm, c’est bon… ! ». Mais non, je ne suis pas curieuse, mais s’il m’est possible de venir en aide à mon prochain je me dois de tout faire pour proposer mes bons offices. Une fois le lourd rideau passé, une scène absolument idyllique s’offrit à moi : une doucereuse lumière éclairait une vaste scène ou sur des chaises, diverses personnes, hommes et femmes, portant une auréole de pacotille sur la tête, siégeaient l’aube relevée, pendant que d’autres personnes pour la plupart accroupies leur suçait l’entre-jambe. Il y avait là à ma gauche quelques voyeuses et voyeurs qui se masturbaient, soit solitairement soit mutuellement, et notamment un couple de gays partis dans un fougueux 69. Je me risquais à m’approcher d’une sorte de guérite où un type blasé semblait régler les spots et le volume de la musique ambiante doucereuse quant surgit un autre type grimé en curé mais dont la soutane était taillée de sorte à mettre en valeur sa bite pendante et chaussé de brodequins de l’armée.« Vous rejouez le purgatoire ? Une pipe réussie et c’est le paradis ?» risquais-je en faisant la maline.« BLASPHÈME ! BLASPHÈME ! » s’écria ce dernier en me pointant du doigt ce qui réellement me surpris et me terrorisa.« Petite créature immonde qui oses défier l’ordre divin, ton accoutrement de pécheresse trahit ta mission satanique ! Vade retro satanas ! Vade rétro satanas ! » hurla-t-il.« Soit il est loufdingue ou alors mince ! il joue son rôle à merveille… » pensais-je tétanisée.« A moi Belzébuth, Satan, Lucifer ! » cria-t-il de plus belle en empoignant ce qu’il croyait être mes cheveux et se trouva tout surpris lorsqu’il se rendit compte qu’il ne lui restait que ma perruque en main.Je n’eu même pas le temps de pouffer et me retrouvait empoignée par deux solides gaillards déguisés en diablotins qui étaient accourus et qui me faisaient horriblement souffrir tant il me tenaient fermement les bras. Ils portaient des masques en plastiques sur la tête ornés de cornes rouges, des juste-au corps velus laissant entrevoir de solides abdominaux et qui finissait par des sabots crochus : toute confusion était impossible, ils m’emmenait en enfer.Et en effet, ils me présentèrent face à une espèce de grand type ventripotent encore plus laid que les autres, excessivement poilu et sur l’entrejambe duquel était arrimé un énorme godemiché en plastique rouge orné d’épines !Tous n’arrêtaient pas d’égrener de façon monocorde la même litanie « Pétasse, poufiasse, connasse, bonasse, suppôt de merdasse, le temps est venu qu’on te baisasse… »Des odeurs âcres se répandaient parmi les fourneaux de charbon de bois allumés par ci, par là et sur lesquels des herbes étaient jetées expressément pour diffuser des senteurs désagréables et malodoran ...

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