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PARTOUZE OÙ JE VAIS…Partie 1.

Publié par : cleatv42 le 21/11/2021

« Madame la Baronne de Mon Cul ! » annonça subjugué l’huissier.En effet, la belle avait mis bien en évidence son admirable paire de fesses dans sa toilette très 17ème siècle dont la large échancrure arrière en dévoilait l’intégralité. C’est donc sous les hourras ! et autres réflexions salaces et lascives que l’effrontée se dirigeait vers le parterre en se déhanchant à qui mieux mieux pour mieux l’exciter…« Monsieur le Marquis de la Bite Écarlate !!! » fut le suivant à être présenté et invité à se fondre dans la foule d’hôtes dont l’excitation grandissait tant était palpable l’hystérie. C’est affublé d’une énorme bite en papier maché que l’homme essayait dorénavant de slalomer dans le brouhaha et la foule ambiante pour préserver le gigantesque gland de couleur rouge criarde auquel espérait-il certainement rallier le plus grand nombre.« Excusez-moi mais qui dois-je annoncer ? » dit l’huissier en se tournant vers moi. Hmmm … dommage que ce soit déjà à mon tour de me faire introduire car le coquin juste derrière moi avait eu la bonne idée de patienter en me caressant longuement les fesses et passer ses mains expertes sous mon entre-jambe pour me mettre pleinement sous tension. A quelques minutes près je me serai retournée pour coller ma langue dans sa bouche et m’abandonner à lui rouler de fougueuses pelles et j’eusse préféré que lui m’introduise spontanément !« Euh… » dis-je mettant mes fantasmes de côté, « Vous savez c’est la première fois que je viens et… ». « Bien ! Je vois… » coupa-t-il en remettant toute droite ma perruque qui partait de guingois. « C’est tout trouvé ! » s’esclaffa-t-il en m’invitant à descendre les quelques marches qui me mènerait au milieu de cette effervescente assemblée.« Madame la Tafiole de Traviole ! » annonça-t-il.Et là, pensais-je « Les dés sont jetés ma choupinette : te voilà dans le grand bain ! ». Plus moyen de lancer un coup d’œil dans le rétroviseur comme d’hab, histoire de vérifier que le mascara tenait bon, m’assurer que toutes les jarretelles étaient bien fixées et qu’aucun bas résille ne se faisait la malle, qu’aucun petit quelque chose ne viendrait altérer l’image sexy de ma personne que j’avais mis tant de temps à préparer, maquiller et habiller. Me voilà donc à pied d’œuvre si j’ose dire, ravie d’être entourée de toutes ces pines, paire de couilles, chattes, nibards, fesses de toutes tailles et trous du cul…La première chose qui me frappa fut l’odeur nauséabonde de transpiration entrecoupée de reliquats de parfum qui saturait les lieux : la moiteur ambiante allait avoir raison de mon précieux maquillage et très vite mes vêtements allaient me coller à la peau. Il faudra que je me déshabille vite si je ne voulais pas me noyer sous ma propre sueur, ce qui devait être, me dis-je, le but de la soirée.A peine le temps de la réflexion qu’un jet de foutre vint se répandre sur ma jupette en cuir : en face de moi un gros pépère en string m’observait à mon insu et finissait de se caresser le gland. Nous échangeâmes de brefs sourires mais je lus un peu de gêne dans son regard devant ma mine déconfite.« Oh ce n’est pas bien grave ! De toute façon j’allais l’enlever » lui dis-je pour le rassurer, en même temps que je lui proposais de m’agenouiller pour lui nettoyer proprement le gland et goûter à ce sperme providentiel dont je raffole tant ! Un petit apéritif en quelque sorte…Je n’en eu pas le temps. Une masse énorme de graisse et de lard que je reconnu comme une femme obèse entièrement nue et affublée d’un unique collier pour chien, était accourue à quatre pattes comme une mort-de-faim pour lécher le sperme dégoulinant sur ma jupe et devançait maintenant ma proposition de lavage/essorage en s’employant à pomper goulûment le phallus du sexagénaire.« Hmmm… tout doux ma belle…tout doux… » l’entendis-je dire à la chienne en rut en caressant ses gros nichons.« Vous voulez bien me pisser dessus, s’il vous plaît, vous pouvez me pisser dessus ???? ». Cette fois-ci c’était un jeune homme bien rebondi et d’environ la trentaine, en string et soutien-gorge bien trop petits pour sa taille mettant en valeur un chapelet de bourrelets graisseux, qui m’apostrophait furieusement.« Euh…vous savez je ne suis pas sûre de… » balbutiais-je sous le coup de l’étonnement. Peine perdue ! Le garçon s’était tourné vers d’autres convives pour reformuler sa demande à la cantonade.« Et bien on ne va pas s’embêter ce soir ! » pensais-je en me déshabillant pour ne garder que mes dessous et mes chaussures à talons aiguille. Je n’avais même pas encore atteint la pièce qui semblait servir de vestiaire qu’à nouveau d’énormes jets de foutre blanc venaient coiffer l’assemblée et se répandre partout. « Ah non ! Une fois suffit… » me dis-je hors de moi, mais également fortement intriguée à essayer de trouver le délicieux coupable capable d’éjaculer de tels volumes de liqueur séminale !Les rires fusèrent dans la salle lorsque les gens aperçurent des huissiers sur les balcons latéraux armés d’énormes antiques seringues qui faisaient penser à celles des médecins du théâtre de Molière aspergeant d’un liquide anodin tous les invités, substance qui très vite se résorbait sans laisser aucune trace. Leur juste-au-corps léopard bien serrés mettaient leurs attributs bien en évidence et je me promettais d’aller taquiner la bosse de l’un d’eux, d’autant plus que le petit moustachu en nœud papillon m’avait gratifié d’un sourire et d’un beau clin d’œil…Lorsque je pénétrai dans le vestiaire je fus prise d’un énorme fou-rire : de la bite écarlate de Monsieur le Marquis ne subsistait plus qu’une espèce de trompe aplatie et avachie qui pendait toute désuète à sa braguette…« Et bien ? » lui dis-je goguenarde « vous avez sodomisé un éléphant ? ».« Ha ha ha ! » répondit-il « Il y a dans cette jungle ce soir des sauvages qui ne respectent même pas les règles de la chasse ! J’y retourne, banzaï !!!» et il disparut dans la grande salle en courant, orné de son caleçon, son haut de costard cravate, ses chaussures de ville et ses belles chaussettes à rayures… « Oh et bien quelle surprise ! Toi aussi ma Cléa chérie tu es là ? ». Aïe ! En me retournant je reconnu Lolatrav dont la voix suave me rappelait péniblement toutes ces invitations qu’elle m’avait jadis adressée pour gouiner ensemble : moi travestie qui ai horreur de coucher avec une autre travestie je sentais la soirée partir en vrille par sa seule présence…Fort heureusement elle était accompagnée d’une vieille dame décrépite vêtue d’une simple guêpière qui découvrait son corps de la taille aux chevilles et notamment d’horribles varices qu’elle exposait sans réserve.« Cléa. » dit-elle à son amie en me désignant. « Cléa, je te présente l’Avisée Chevalière de la Chatte Épilée ! ».« Enchantée, moi c’est donc Cléa la Tafiole de Traviole » dis-je en lui adressant un baise-main. « Mon Dieu ! » pensais-je en observant le vétuste clitoris, « il a du bien servir avec toute ces peaux qui bringue-ballotent. Je serai à sa place je m’y collerai plutôt une moumoute façon à ne pas attirer la curiosité malsaine des garçons-bouchers en mal de révision anatomique la veille du C.A.P. ! ».Bon, qu’allais-je pouvoir bien trouver comme excuse bidon pour me défaire de ces deux gouines toutes excitées déjà à me proposer un plan du style « in gode we trust » ? Je n’eus même pas à trop me creuser le carafon puisqu’une opulente dame à la poitrine plus que généreuse habillée d’un tutu rose vint à passer près de nous en signifiant que le buffet était ouvert et que toutes et tous étions cordialement invités à nous y rendre dès que la faim, la soif ou autre chose nous titilleraient.« Effectivement elle possède un beau buffet ! » dis-je en désignant la poitrine de la dame à un homme qui comme moi avait décidé de converger vers l’endroit, sinon de fuir quelques inopportunes rencontres.« Mais où est-ce donc ? » demanda une fine Cruella toute de clous et de cuir harnachée qui semblait totalement perdue.« Dans la pièce du fond ! » assura mon éphémère compagnon.« Dans la fesse du pion ? » m’amusais-je en cherchant à démarrer une conversation et le draguer quelque peu. « Dommage ! » me dit-il tout contrit en devinant mes intentions. « Je viens de m’envoyer une paire de jumelles qui m’ont totalement vidé les bourses sinon je t’aurai proposé une petite mise en bouche pour agrémenté ta coupe de champagne ! ».« Oh ce n’est que partie remise ! » répondit-je en bourrant mon soutif de quelques craquants apéros dont il fallait assurément faire des réserves vu la bande de gueulards morphalous qui assiégeaient maintenant ...

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